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Par : Sirieux
Publié : 23 novembre 2013

En route pour 2014

Hardricourt : Stéphanie Chocraux lance une dynamique

Le 15 novembre 2013, un groupe d’hardricourtois se sont réunis afin de préparer « le renouveau » politique à Hardricourt.

Environ trente personnes se sont donné rendez-vous pour évoquer la situation –« accablante  » selon eux - et les enjeux de la prochaine élection municipale à Hardrcourt, commune voisine de Meulan-en-Yvelines.

Conviés par Stéphanie Chocraux, la majorité de Hardricourtois présents avaient une particularité : ils n’avaient jamais fait de la politique. D’ailleurs, cela leur convenait bien car le « patriarche » d’Hardricourt, André Cassagne, laisse une ville presque fossilisée. En effet, cette séance de « brainstorming » pourrait permettre de fixer les contours et les objectifs de l’engagement citoyen par les personnes présentes.

Certes, ces novices en politique sont conscients de la demande latente chez les foyers hardricourtois : l’écoute et la concertation démocratique. Ceux présents partagent tous « l’envie de se prendre en main » afin de finir avec la mandature du maire actuel d’Hardricourt, André Cassagne (1995-2014).

Quel sera l’impact des municipales sur le quotidien ? Qu’attend-t-on de la future intercommunalité Vexin-Seine ? Comment faire dans ce temps de disette budgétaire ? Voilà un échantillon de questions en préparation pour les échéances de 2014. La volonté de ces hardricourtois était de rester « au-dessus des enjeux nationaux ». En effet, le profil moyen des Hardricourtois présente à cette première séance était pondéré ; on laisse le militantisme (de droite ou de gauche) dans les vestiaires.

En tout cas, dans les communes ou devrait-on dire des villages tel Hardricourt, il est indispensable de cerner les qualités de la personne ou des futurs candidats. Stéphanie Chocraux explique avec soin et une certain esthétisme les lacunes de la mandature actuelle en termes d’urbanisme, de concertation et de bien vivre ensemble.

Pour changer la donne à Hardricout, Mme Chocraux reste persuadée que la méthode choisie serait le résultat d’un travail d’équipe (« on » et non pas le « je ») et dans un cadre classique et démocratique. Se réunir déjà est une étape importante et nécessaire à la « victoire de 2014 ». Cet acte, quelque que soit l’issu du scrutin en 2014, est le preuve que la démocratie locale est robuste et permet de la consolider.

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