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Publié : 7 novembre 2016

Boxe anglaise

Renaissance de la boxe muriautine en présence de Tony Yoka(Webtélé2R/SeineTV)

Ce lundi 7 novembre 2016, pour officialiser l’ouverture le 12 septembre dernier d’une école de boxe anglaise et la création du Ring Olympique des Mureaux, Tony Yoka "l’homme de Rio" est venu à la rencontre de la nouvelle jeune génération.

En ce soir d’entrainement dans la nouvelle école de boxe du Ring Olympique des Mureaux (ROM), située au gymnase Pierre-de-Coubertin, un invité exceptionnel est venu pour officialiser le retour du noble art dans la commune, suite à la disparition du Boxing Amical des Mureaux (BAM).

L’homme de Rio

Un géant ou plus simplement, comme le nomme le coach Moktar Hadjri : « C’est l’homme de Rio. Avant c’était Belmondo, maintenant c’est Tony ! » ; Tony Yoka, champion Olympique de boxe 2016 dans la catégorie des poids lourds, est venu pour, d’une certaine façon, officialiser cette renaissance. Il est également venu faire la joie de la nouvelle génération de boxeurs muriautins en dédicaçant des photos, des dessins et en faisant des selfies. Il faut dire que Tony Yoka est un ancien du club de boxe des Mureaux et cela lui tenait à cœur d’être là pour soutenir ce nouveau club.

Cette rencontre s’est faite en présence de François Garay, maire des Mureaux, de Nasser Gaouaou, président du ROM, de Moktar Hadjri et évidemment de la trentaine d’enfants du cours, ainsi que de leurs parents.

C’est reparti !

Nasser Gaouaou, est un ancien boxeur d’Argenteuil de 56 ans. Il a effectué 50 combats dans les années 80 et depuis « je n’ai jamais quitté la boxe ». Il était important pour lui de relancer la boxe aux Mureaux. C’est la même chose pour François Garay, qui a souhaité que cela repart avec une école de boxe pour « préparer une nouvelle génération pour les jeux olympiques de 2020/24 ». « Redémarrer avec une nouvelle fraicheur », précise le maire des Mureaux tout en ajoutant que ce n’est que le début. Avec de nombreux appuis et bien au-delà des querelles passées, François Garay est heureux d’avoir pu dire « C’est reparti ! »