A l’approche de la fin du règne du Tonton Bédier, les anciens du clan se disputent les dépouilles entre eux. Marc Jammet, conseilleur municipale et communautaire de Mante-la-Jolie renvoie dos à dos ces deux factions de la même famille politique qui a abîmé l’engagement politique depuis l’arrivée au pouvoir du "Tonton".
Les propos tenus dans cette tribune appartiennent à celui qui les a écrits.
“La Gazette des Yvelines” et Jean-Luc Santini (qui s’y exprime — seul — une page entière) ont franchi un nouveau pas dans l’inacceptable. Une page entière, l’adjoint au maire chargé de l’urbanisme se lâche et reprend à son compte un véritable procès contre le maire actuel ainsi que certaines rumeurs qui circulent depuis plusieurs semaines à Mantes-la-Jolie.
L’ancien “ami” de Raphaël Cognet estime ainsi sans sourciller que son bilan est famélique, l’accuse de ne pas tenir sa parole quant à sa démission négociée avec le clan Bédier, qu’il refuse d’écouter les agents municipaux (comme si lui-même l’avait fait), d’avoir fait aménager une salle de bains et une salle à manger à l’Hôtel de Ville (pour quoi faire ?) ou encore d’avoir fait acheter par la Ville un véhicule de fonction de 7 places qui va donc être “utilisé dans un cadre privé” …
Quant à Raphaël Cognet, dans ses déclarations reprises par d’autres titres de journaux locaux, il n’est pas en reste quand il souligne le rapport de la Chambre régionale des comptes qui met en cause gravement les élus de “l’autre clan” — comme Michel Vialay faisant acheter par la Ville des milliers d’euros aux “foires aux vins”, des produits “Hermès” ou surpayer les membres du cabinet du Maire de l’époque …
Ce qui est étonnant, c’est qu’ils étaient donc tous au courant de ce qui se passait mais qu’ils n’en avaient rien dit avant qu’ils ne déballent ce linge sale !
Pas plus Jean-Luc Santini qui sort de son chapeau (sur commande) ses insultes que Raphaël Cognet qui avait justifié il y a peu encore le comportement de la majorité dénoncée par la Chambre régionale des comptes, fait passer dernièrement au Conseil municipal les voyages d’un élu également ambassadeur itinérant du Président du Sénégal et d’un autre élu mis en examen et sous contrôle judiciaire pour subornation de témoins ou tout dernièrement (le 18 octobre dernier) la casse du Centre Hélène Touvay rue de la Sangle au profit d’un promoteur immobilier qui achète dans le cadre du même projet la propriété de Pierre Bédier ou encore qui a permis que, par décision de la GPSEO qu’il préside, Jean-Luc Santini bénéficie d’une nouvelle indemnité de 1.672 euros mensuels payée par la SOTREMA (Société d’économie mixte délégataire de a collecte et du traitement des ordures ménagères qui réduit chaque année ses services mais qui ne peut que répercuter ces nouveaux frais qu’elle engage pour son Président nommé par GPSEO).
Ont-ils été pris soudain tous deux par un besoin impérieux de transparence ?
Poser la question c’est y répondre et à l’évidence c’est NON. Leur seul objectif (et il est commun) c’est de servir des Mantais pour régler leur conflit politicien et cela se voit “comme le nez au milieu de la figure” !
Rappelons quand même que les seuls élus qui se sont opposés à ces projets néfastes et subissent les rumeurs incessantes dont les deux clans se plaignent maintenant qu’ils les subissent, qui ont saisi Madame la Procureure de La République à la suite du rapport de la chambre régionale des comptes et obtenu qu’une information judiciaire soit ouverte, à qui Pierre Bédier a dit publiquement qu’il les empêcherait de parler avant de porter plainte contre leur Président pour diffamation … ce sont les élus de VIVRE MIEUX A MANTES-LA-JOLIE.
Et je peux assurer les Mantais qu’ils ne lâcherons rien ! Plutôt que de tenter de nous servir des Mantais, nous avons, nous, la volonté de les servir.
Et, municipale partielle ou démission négociée, “les gêneurs” pour les deux clans seront présents !
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