Mardi 20 février 2018, en marge de la visite d’Emmanuel Macron, vers 11h, l’humoriste Yassine Belattar a été mis en garde à vue suite à un "outrage sur personne dépositaire de l’autorité publique" d’après le parquet de Versailles.
Invité par le président de la République, qu’il avait accompagné durant sa campagne en animant un atelier d’échange aux Mureaux en présence de ce dernier, l’humoriste est arrivé en retard pour rejoindre le cortège. L’accès lui avait alors été refusé. C’est là que les choses s’enveniment.
Yassine Balattar a été remis en liberté après sept heures de garde à vue en fin après-midi, dans le cadre d’une "composition pénale". C’est une mesure alternative aux poursuites qui s’applique lorsque la personne reconnaît les faits. Cela évite un procès L’humoriste, qui parle d’un "malentendu", va faire l’objet d’une convocation devant le délégué du procureur de la République selon une information du parquet.
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